jeudi 27 septembre 2012
La spéculation immobilière
Bruxelles, en tant que capital de l’Union Européene et quartier général d'un certain nombre de corporations multinationales, a fait l’expérience d'un boom dans la construction d’édifice à bureaux. Inévitablement, cela a occasionne des augmentations sur les prix des terrains et, tout aussi inévitablement, la spéculation immobilière. Des fortunes colossales furent faites par une poignée de gens.
Parce que les spéculateurs immobiliers deviennent riches si vite et sans avoir à travailler, ils sont toujours impopulaires, spécialement parce que les maisons des travailleurs ordinaires doivent souvent être démolies pour faire place à des édifices à bureaux, aggravant ainsi le problème du logement. Le fait est, cependant, que la spéculation immobilière est une conséquence inévitable de la propriété privée des terrains. Les propriétaires privés de terrains monopolisent une partie de la surface de la Terre et, en conséquence, sont en position de demander un paiement pour leur usage non seulement sans avoir à travailler mais aussi sans avoir à investir de capital.
La terre, n'étant pas un produit du travail, n'a pas de valeur ; elle n'a seulement qu'un prix qui est déterminé par l’offre et la demande. Le prix de la terre est déterminé en fait par la capitalisation de la location espérée sur un certain nombre d'années, et la location espérée dépend de la demande pour son usage. Si, comme a Bruxelles, il y a une demande sans cesse croissante de terrains pour la construction de bureaux, alors le prix des terrains augmentera, et ce tant et aussi longtemps que la demande croîtra.
Ceux qui possèdent des terrains, particulièrement ceux possédant des terrains avec des édifices à bureaux vacants, peuvent faire de l'argent de cette situation. C'est pourquoi un nombre des capitalistes investit maintenant dans l'achat de terrains pour édifices à bureaux et dans la spéculation des augmentations futures de leurs prix, c’est-à-dire sur la location qu'ils peuvent en obtenir. Cette construction d’édifices à bureaux pour location à une date ultérieure est fondamentalement ce que représente la spéculation immobilière moderne.
Les socialistes sont résolument contre la propriété privée de la terre mais nous ne favorisons pas son abolition isolée sous le capitalisme parce que cela ne constituerait qu'une simple reforme laquelle ne résoudrait pas le problème du logement, pas plus qu'aucun autre problème confrontant la classe travailleuse. Nous nous prononçons pour l'abolition de la propriété de classe des instruments de production faits par l'homme tout comme pour la terre et les ressources naturelles. Nous voulons un monde dans lequel tous les moyens et instruments de production et de distribution sont devenus l’héritage commun de toute l'humanité, de manière à ce que, sous contrôle démocratique, ils puissent être utilisés pour produire non pour la vente avec en vue le profit mais uniquement pour satisfaire les besoins humains.
Parce que les spéculateurs immobiliers deviennent riches si vite et sans avoir à travailler, ils sont toujours impopulaires, spécialement parce que les maisons des travailleurs ordinaires doivent souvent être démolies pour faire place à des édifices à bureaux, aggravant ainsi le problème du logement. Le fait est, cependant, que la spéculation immobilière est une conséquence inévitable de la propriété privée des terrains. Les propriétaires privés de terrains monopolisent une partie de la surface de la Terre et, en conséquence, sont en position de demander un paiement pour leur usage non seulement sans avoir à travailler mais aussi sans avoir à investir de capital.
La terre, n'étant pas un produit du travail, n'a pas de valeur ; elle n'a seulement qu'un prix qui est déterminé par l’offre et la demande. Le prix de la terre est déterminé en fait par la capitalisation de la location espérée sur un certain nombre d'années, et la location espérée dépend de la demande pour son usage. Si, comme a Bruxelles, il y a une demande sans cesse croissante de terrains pour la construction de bureaux, alors le prix des terrains augmentera, et ce tant et aussi longtemps que la demande croîtra.
Ceux qui possèdent des terrains, particulièrement ceux possédant des terrains avec des édifices à bureaux vacants, peuvent faire de l'argent de cette situation. C'est pourquoi un nombre des capitalistes investit maintenant dans l'achat de terrains pour édifices à bureaux et dans la spéculation des augmentations futures de leurs prix, c’est-à-dire sur la location qu'ils peuvent en obtenir. Cette construction d’édifices à bureaux pour location à une date ultérieure est fondamentalement ce que représente la spéculation immobilière moderne.
Les socialistes sont résolument contre la propriété privée de la terre mais nous ne favorisons pas son abolition isolée sous le capitalisme parce que cela ne constituerait qu'une simple reforme laquelle ne résoudrait pas le problème du logement, pas plus qu'aucun autre problème confrontant la classe travailleuse. Nous nous prononçons pour l'abolition de la propriété de classe des instruments de production faits par l'homme tout comme pour la terre et les ressources naturelles. Nous voulons un monde dans lequel tous les moyens et instruments de production et de distribution sont devenus l’héritage commun de toute l'humanité, de manière à ce que, sous contrôle démocratique, ils puissent être utilisés pour produire non pour la vente avec en vue le profit mais uniquement pour satisfaire les besoins humains.
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